Les glissades et les chutes représentent 29 % des blessures professionnelles. Utiliser des surfaces et des chaussures conformes aux normes peut réduire ces risques de manière significative. Par exemple, un centre sportif a diminué les accidents de glissade de 70 % après avoir appliqué des traitements antidérapants.
Résumé des normes principales :
- EN ISO 20345 : Norme européenne pour les chaussures de sécurité. Exige un coefficient de friction minimal (0,31 talon, 0,36 avant-pied) testé sur carrelage céramique.
- ASTM F2913-19 : Norme américaine mesurant la friction dynamique avec un testeur complet.
- CAN/CSA Z195 : Norme canadienne mettant l’accent sur la transparence avec des coefficients affichés sur les produits.
Avantages des tests sur le terrain :
- Conditions réelles : Évaluent l’impact des contaminants (eau, huile, etc.).
- Équipements variés : Tribomètres comme le BOT-3000E ou SlipAlert.
- Coût : Tests DCOF à partir de 1 200 €.
Comparaison rapide des normes :
Critères | EN ISO 20345 | ASTM F2913-19 | CAN/CSA Z195 |
---|---|---|---|
Surface testée | Carrelage, acier | Variable | Carrelage, acier |
Contaminants | Savon, glycérine | Variable | Eau |
Seuils minimaux | Oui | Non | Oui |
Affichage COF | Non | Non | Oui |
En bref : Choisissez des chaussures ou surfaces certifiées selon les normes locales pour garantir une sécurité optimale et réduire les risques d’accidents.
Slip Resistance Testing for Footwear | TÜV SÜD
Principales normes internationales de résistance au glissement
Les normes internationales jouent un rôle clé dans la sécurité des surfaces et des chaussures de protection. Elles définissent des méthodes de test précises et des seuils minimaux de performance, garantissant ainsi que les équipements offrent une traction fiable dans des conditions variées. Bien qu'elles diffèrent selon les régions, leur objectif commun est d'assurer une adhérence optimale en conditions réelles.
EN ISO 20345 et EN ISO 20347
La norme européenne EN ISO 20345:2022 marque un tournant dans l'évaluation de la résistance au glissement des chaussures de sécurité. Désormais, cette résistance est une exigence fondamentale pour toutes les catégories de chaussures de sécurité.
Les anciennes classifications "SRA", "SRB" et "SRC" de la version 2011 ont été remplacées par un test standardisé. Toutes les chaussures doivent prouver une résistance de base au glissement via un test comparable à l'ancienne certification SRA, réalisé sur des carreaux céramiques avec une solution de laurylsulfate de sodium.
- Coefficient minimal requis : 0,31 pour le talon et 0,36 pour l'avant-pied.
- Zones testées : talon (zone d'impact) et avant-pied (point de poussée).
Un marquage optionnel "SR" impose des seuils légèrement inférieurs (0,19 pour le talon et 0,22 pour l'avant-pied), testés sur des carreaux céramiques avec glycérine. Ce marquage indique une performance antidérapante accrue.
Autre nouveauté : l'introduction de l'Eurotile 2, qui remplace l'ancienne surface de test en acier inoxydable. Pour les chaussures équipées de pointes ou de clous métalliques, le symbole "Ø" est utilisé lorsque le test de glissement ne peut être réalisé.
ASTM F2913-19
La norme américaine ASTM F2913-19 adopte une approche différente en mesurant le coefficient de frottement à l'aide d'un testeur de chaussure complète. Ce "Whole Footwear Tester" simule des conditions de marche réelles, fournissant des résultats plus représentatifs des performances lors d'une utilisation quotidienne .
En complément, la norme ASTM F3445-21 fixe des exigences de performance précises. Elle impose un coefficient de frottement minimum de 0,40, testé dans des conditions sèches et humides selon la méthode ASTM F2913. Cette uniformité facilite l'évaluation des chaussures pour les professionnels.
CAN/CSA Z195
Le Canada propose sa propre approche avec la norme CSA Z195, qui met l'accent sur la praticité et la transparence. Cette norme inclut des critères spécifiques pour les chaussures antidérapantes, avec ou sans autres caractéristiques de protection.
Un aspect notable est l'obligation d'afficher les performances. Les fabricants doivent indiquer les six coefficients de frottement moyens obtenus lors des tests, soit sur l'emballage, soit directement sur la chaussure. Cela permet aux utilisateurs de faire des choix éclairés basés sur des données concrètes.
Les tests de cette norme s'appuient sur la méthode ISO 13287, utilisant des surfaces variées : carreaux secs, carreaux mouillés avec de l'eau distillée, et acier inoxydable mouillé.
L'efficacité de la CSA Z195 est bien documentée. Par exemple, dans l'industrie de la construction en Ontario, l'adoption de chaussures certifiées CSA a réduit les blessures aux pieds de 60 % entre 1968 et 1984.
"The release of this expanded standard is an important step forward in the protection of Canadian workers." - CSA
Pour simplifier la sélection des équipements, la CSA propose également un système de symboles codés par couleur, rendant les niveaux de sécurité plus faciles à comprendre sur le terrain.
Ces trois normes internationales, bien qu'adaptées à des régions et secteurs différents, offrent des approches complémentaires pour évaluer et garantir une résistance efficace au glissement. Elles restent essentielles pour répondre aux besoins variés des utilisateurs et améliorer leur sécurité au quotidien.
Méthodes et procédures de test sur le terrain
Après avoir défini les normes internationales, voyons comment elles sont appliquées sur le terrain. Les tests de résistance au glissement réalisés sur site permettent d’évaluer les performances des surfaces dans des conditions réelles. Contrairement aux tests en laboratoire, ces méthodes tiennent compte des contraintes environnementales et des contaminants présents sur place.
Mesure du coefficient de frottement dynamique (DCOF)
Le coefficient de frottement dynamique (DCOF) est une mesure clé utilisée pour évaluer la résistance au glissement sur le terrain. Il indique la force de friction entre une surface et un matériau de test standard, généralement du caoutchouc SBR (styrène-butadiène). Les tests se déroulent en deux phases : d’abord sur une surface sèche, puis sur une surface mouillée. Cette méthode permet de détecter les variations de performance dues à l’état de la surface, un aspect crucial pour garantir la sécurité.
La norme ANSI A326.3 recommande un DCOF minimum de 0,42 sur des surfaces mouillées avec de l’eau, testé à l’aide de caoutchouc SBR et d’une solution SLS. Cependant, des contaminants comme la saleté, l’eau, le savon, l’huile ou la graisse peuvent faire varier les résultats. C’est pourquoi les tests sur le terrain sont essentiels pour obtenir des données représentatives des conditions réelles. Ces mesures nécessitent des équipements spécifiques, décrits ci-dessous.
Équipements et procédures de test
Parmi les outils les plus utilisés, le testeur pendulaire DCOF, approuvé par le Ceramic Tile Institute of America, simule le mouvement du pied humain. Cet appareil, utilisé dans plus de 50 pays, mesure la résistance au glissement à l’aide d’un curseur en caoutchouc qui bascule sur la surface testée.
Les résultats obtenus sont classés en trois catégories selon le potentiel de glissement :
- Faible risque : 36+ PTV
- Risque modéré : 25–35 PTV
- Risque élevé : 0–24 PTV
D’autres appareils comme le SlipAlert Tribometer (maintenant appelé iAlert), le BOT-3000E et le tribomètre Tortus sont également utilisés. Chaque instrument est adapté à des surfaces et des conditions spécifiques.
Le SlipAlert, par exemple, a été reconnu par le HSE britannique comme un outil efficace :
« Fournissant une bonne indication de la friction disponible, il est utile pour l’évaluation des risques, la surveillance des surfaces de sol et le suivi des régimes de nettoyage ».
Ces outils, combinés à des tests sur site, offrent une vue plus réaliste des performances antidérapantes qu’un test en laboratoire.
Tests en laboratoire versus tests sur le terrain
La principale différence entre les tests en laboratoire et ceux sur le terrain réside dans la gestion des variables environnementales. En laboratoire, les conditions sont contrôlées et standardisées, ce qui garantit la reproductibilité des résultats. Les tests mesurent la friction dynamique entre un pied d’essai en caoutchouc SBR et une surface dans un environnement stable.
En revanche, les tests sur le terrain tiennent compte des conditions réelles, comme les variations de température, l’humidité, la présence de contaminants et l’usure due au trafic piétonnier. Ces éléments influencent directement la résistance au glissement et ne peuvent pas être entièrement simulés en laboratoire. Les tests sur site permettent également d’identifier les zones présentant des risques variables. Ils sont particulièrement utiles pour surveiller l’évolution de la sécurité, car la résistance au glissement peut changer avec le temps, en fonction de l’entretien et de l’utilisation.
En termes de coûts, WMG propose des tests SCOF sur le terrain à partir de 1 200,00 $ et des tests DCOF à partir de 1 600,00 $. D’autres prestataires facturent des tests DCOF à partir de 1 200,00 $, avec des frais de déplacement supplémentaires.
Mises à jour récentes des normes de résistance au glissement
En examinant les évolutions internationales, cette section met en lumière les récentes modifications des normes qui redéfinissent les protocoles de test tout en intégrant des critères axés sur l’ergonomie. Ces changements visent à mieux répondre aux risques professionnels et aux attentes des utilisateurs. Ils transforment non seulement les méthodes d’évaluation, mais influencent aussi la conception des chaussures de sécurité.
Mises à jour de la norme EN ISO 20345:2022
La révision de la norme EN ISO 20345 en 2022 a marqué une étape importante dans l’évaluation de la résistance au glissement. Désormais, toutes les chaussures de sécurité doivent répondre à des exigences spécifiques en matière de glissement, supprimant ainsi le système de classification précédent.
Les anciennes certifications ont été remplacées par une seule désignation : « SR ». Cette mention est attribuée si les chaussures passent un test de glissement sur carrelage céramique recouvert de glycérine. De plus, les protocoles ont été modifiés pour se concentrer sur des zones clés, comme le talon et l’avant-pied, qui sont critiques lors de la marche.
Les nouvelles méthodes de test incluent l’utilisation de l’Eurotile 2 et se concentrent sur un glissement arrière de l’avant-pied plutôt qu’un glissement plat. Les coefficients de friction minimaux requis sont désormais fixés à 0,31 pour le talon et 0,36 pour l’avant-pied. Une option SR offre des seuils légèrement inférieurs, respectivement 0,19 et 0,22.
Pour les chaussures équipées de crampons métalliques ou de pointes, un symbole Ø indique que le test de résistance au glissement ne s’applique pas. Ces ajustements garantissent une meilleure adéquation entre les performances techniques et les conditions réelles, renforçant ainsi la sécurité des utilisateurs.
Critères ergonomiques et de confort
En parallèle des avancées techniques, l’accent est également mis sur le confort. Pourquoi ? Parce que si les chaussures sont inconfortables, les travailleurs risquent de ne pas les porter, malgré les dangers liés aux chutes. Une enquête menée auprès de 125 travailleurs extérieurs en Suède a révélé que l’ajustement des chaussures était le critère ergonomique le plus important, surtout dans des climats froids.
Une autre étude, réalisée auprès de plus de 650 préposés aux services de soutien, a identifié les priorités des utilisateurs pour les chaussures d’hiver :
- Confort : 83 %
- Résistance au glissement : 80 %
- Chaleur : 74 %
- Coût : 52 %
- Poids des chaussures : 34 %
Ces chiffres montrent que le confort est quasiment aussi important que la sécurité, ce qui justifie une approche plus globale dans l’élaboration des normes. En réponse, les fabricants explorent des matériaux plus légers et des tissus capables d’évacuer l’humidité, combinant ainsi confort et protection.
Les professionnels de la santé et de la sécurité sont invités à réévaluer les risques sur le lieu de travail et à identifier les nouveaux dangers. Il est également conseillé de remplacer les chaussures usées, dont les propriétés protectrices pourraient être compromises.
Cette évolution vers une prise en compte accrue de l’ergonomie montre une compréhension plus complète de la sécurité au travail. Elle met en avant un point clé : l’efficacité des équipements de protection individuelle repose autant sur leur performance que sur leur adoption par les utilisateurs.
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Comparaison des normes de résistance au glissement
Les normes internationales adoptent des approches variées, reflétant des priorités régionales et des conditions spécifiques de travail. Comparer ces standards aide les professionnels à sélectionner des chaussures certifiées qui répondent aux exigences locales. Voici un aperçu des principales caractéristiques et différences entre ces normes.
Comparaison des normes EN ISO 20345, ASTM F2913-19 et CAN/CSA Z195
Ces trois normes reposent sur des méthodologies de test distinctes. La norme européenne EN ISO 20345 évalue la résistance au glissement à travers trois tests : SRA (carrelage céramique avec solution savonneuse), SRB (acier avec glycérine) et SRC (combinaison des deux précédents).
La norme américaine ASTM F2913-19 utilise un testeur complet pour mesurer le coefficient de friction dynamique (COF), sans imposer de seuil minimum.
Quant à la norme canadienne CAN/CSA Z195, elle teste la résistance au glissement sur des carreaux d'argile et de l'acier inoxydable mouillés avec de l'eau. Ces tests suivent les méthodes ISO 13287, en évaluant les modes de contact « talon » et « plat ».
Voici une comparaison détaillée de ces normes :
Critère | EN ISO 20345 | ASTM F2913-19 | CAN/CSA Z195 |
---|---|---|---|
Surface de test | Carrelage céramique, acier | Variable selon le revêtement testé | Carreaux d'argile, acier inoxydable |
Contaminant | Solution savonneuse diluée, glycérine | Variable (eau, glace, huile, graisse) | Eau |
Mesure | Tests SRA, SRB et SRC | Coefficient de friction dynamique | Moyenne de six coefficients de friction |
Seuils requis | Seuils minimaux définis | Aucun seuil défini | Valeurs indiquées sur l'étiquetage |
Certification | Non spécifié | Non spécifié | Moyennes de COF obligatoires sur l'emballage |
La norme européenne impose des critères stricts, assurant une sécurité standardisée, tandis que la norme américaine privilégie une approche plus flexible, adaptée à divers environnements. La norme canadienne, quant à elle, se concentre sur des surfaces et des lubrifiants spécifiques, ce qui permet une évaluation ciblée.
Applicabilité géographique et impact sur les fabricants
Le choix de la norme est souvent dicté par sa prévalence régionale. La norme EN ISO 20345 est largement utilisée en Europe, tandis que l'ASTM F2913-19 est adoptée aux États-Unis, et la CAN/CSA Z195 est la référence au Canada. Cette diversité oblige les fabricants à adapter leurs produits aux exigences locales, ce qui peut entraîner des coûts supplémentaires liés au développement et à la certification.
Pour les professionnels travaillant dans des environnements à risque, il est crucial de sélectionner des chaussures certifiées selon les normes en vigueur dans leur région. Cela garantit une protection adaptée et conforme aux standards locaux, renforçant ainsi la sécurité sur le lieu de travail.
Conclusion : L'importance des tests sur le terrain pour les chaussures professionnelles
Les tests sur le terrain jouent un rôle clé pour assurer sécurité et confort, en évaluant la résistance au glissement dans des conditions réelles. Ces situations incluent l'usure, la contamination ou encore les variations environnementales, des aspects souvent impossibles à reproduire en laboratoire.
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : les glissades, trébuchements et chutes représentent 29 % des blessures professionnelles déclarées. Par ailleurs, les travailleurs équipés de chaussures antidérapantes certifiées enregistrent 37 % de glissades en moins et près de 50 % de chutes en moins par rapport à ceux portant des chaussures non certifiées.
Ces résultats soulignent l'importance d'une approche réfléchie. Les retours d'expérience des professionnels montrent qu'adapter les chaussures aux spécificités de chaque environnement de travail est essentiel pour garantir sécurité et efficacité.
Pour choisir des chaussures antidérapantes, il est indispensable de vérifier leurs performances dans des situations exigeantes, comme les environnements huileux ou humides. Des marques telles que Karl&Max proposent des modèles certifiés ISO 20347 avec semelles SRC, testés sur des surfaces grasses, mouillées ou métalliques. Ces chaussures, conçues pour des journées de travail de 8 à 12 heures, allient expertise et rigueur des tests pour répondre aux besoins des professionnels.
En associant des tests sur le terrain à des certifications standardisées, on obtient une évaluation complète qui garantit des conditions de travail plus sûres et adaptées.
FAQs
Quelles sont les principales différences entre les normes EN ISO 20345, ASTM F2913-19 et CAN/CSA Z195 pour tester la résistance au glissement des chaussures ?
Les normes internationales pour la résistance au glissement des chaussures
Les normes EN ISO 20345, ASTM F2913-19 et CAN/CSA Z195 définissent des méthodes spécifiques pour évaluer la résistance au glissement des chaussures, chacune étant adaptée aux exigences de différentes régions du monde.
- EN ISO 20345 (Europe) : Cette norme européenne teste la résistance au glissement sur des surfaces comme la céramique et l'acier. Les marquages tels que SRC indiquent un niveau supérieur de résistance au glissement, idéal pour des environnements de travail variés.
- ASTM F2913-19 (États-Unis) : Aux États-Unis, cette norme se concentre sur le calcul du coefficient de friction. Bien qu'elle ne propose pas de marquages spécifiques, elle offre une méthode technique fiable pour évaluer le risque de glissement.
- CAN/CSA Z195 (Canada) : Au Canada, cette norme va au-delà de la résistance au glissement et prend en compte la sécurité globale des chaussures. Elle répond aux besoins spécifiques des travailleurs canadiens, notamment dans des environnements exigeants.
Ces normes traduisent les priorités locales en matière de sécurité et d'adaptation aux environnements de travail. Si vous recherchez des chaussures qui offrent à la fois confort et sécurité, les modèles Karl&Max sont une option idéale, particulièrement adaptés aux pieds sensibles ou atypiques.
Pourquoi les tests de glissement sur le terrain sont-ils plus efficaces que les tests en laboratoire pour garantir la sécurité des chaussures professionnelles ?
Tests de glissement sur le terrain : une évaluation en conditions réelles
Les tests de glissement réalisés sur le terrain permettent d’analyser la performance des chaussures dans des situations proches de leur utilisation quotidienne. Ces essais prennent en compte des environnements variés et des surfaces différentes, offrant une vision plus réaliste que les tests effectués en laboratoire. En effet, ils intègrent des éléments imprévisibles comme l'humidité, les débris ou les irrégularités du sol, souvent absents des conditions contrôlées.
En examinant les risques spécifiques liés à chaque environnement de travail, ces tests jouent un rôle clé dans la prévention des chutes et des blessures. Ils assurent que les chaussures maintiennent un niveau de sécurité élevé, même dans des contextes particulièrement exigeants.
Quels éléments dois-je prendre en compte pour choisir des chaussures antidérapantes adaptées à mon environnement de travail ?
Pour sélectionner des chaussures antidérapantes adaptées à votre environnement de travail, il est crucial de choisir des modèles certifiés conformes à des normes reconnues, telles que EN ISO 20345 ou EN ISO 20347. Ces certifications attestent de leur efficacité sur des surfaces humides ou sèches et garantissent une sécurité accrue.
Portez une attention particulière à la conception de la semelle. Des motifs multidirectionnels et des matériaux comme le caoutchouc à haute adhérence offrent une meilleure traction. Pour évaluer leur performance, privilégiez des chaussures testées avec des méthodes fiables, comme la valeur du test au pendule (PTV), qui analyse la résistance au glissement sur différents types de sols.
Enfin, assurez-vous que vos chaussures combinent confort et praticité, surtout si vous passez de longues heures debout. Certaines marques, comme Karl&Max, proposent des modèles ergonomiques et modernes, parfaits pour allier sécurité et confort au quotidien.